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J'ai écris ce texte comme ça me venait, mais au cas où, cela ne reflette aucune envie particulière de ma part, ni ne reflette mon état de santé.
Le chapitre ci-dessous comporte des scènes pouvant heurter la sensibilité du public.Si tu veux quand même le lire, il te faut créer un compte et le configurer "majeur".
Minuit passé,
Des clopes et du café,
Une bouteille déjà bien entamée,
Une rage qui ne veut pas passer,
Ma tête me fait souffrir,
Chaque battement de mon coeur,
Explose comme si mon crâne voulait s'ouvrir,
Après chacun du prochain j'ai peur,
J'abats mes poings sur le bureau,
Où est le haut et où est le bas ?
La pièce tourne, tout comme mon cerveau,
Je tâtonne à bout de bras,
Je balaie les papiers, les clopes et le café,
Je commence à perdre l'équilibre,
Je vois des ombres devant mes yeux dancer,
Mon crâne de plus en plus vibre,
Je frappe ma tête sur le bois,
Je hurle à ne plus avoir de voix,
Ils m'avaient dit que mes symptômes,
De ma santé mentale n'étaient que le reflet,
Que ces derniers, tels des fantômes,
N'existaient que si je les laissais,
Alors soit, si c'est moi qui décide,
Je prend la grande porte,
Je me suicide,
La douleur est trop forte,
Je titube et manque un pas,
Alors que ma main s'accroche au tiroir,
Je l'ouvre et j'y vois,
Mon reflet dans l'arme tel un miroir,
Je le pointe contre ma tempe,
Alors, la vie, que dis-tu de ça ?
Tu pensais pas que j'aurais la trempe,
De partir comme ça ?
Je lève les yeux au plafond,
Comme pour défier quiconque me verra,
J'appluie à fond,
Mon cerveau enfin plus ne bat.