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On arrive dans la dernière partie du défi. Je pense que cette histoire là prendra encore deux ou trois jours. Sans conviction. J'ai une vague idée d'où je vais mais on verra la motivation.
La Dryade de toute émotion purgée,
Défendit la racine qu’elle avait essayé de couper,
Temps passa, ses souvenirs premiers se perdaient,
Tant et tant qu’elle tua même son frère qui la cherchait,
Le prenant pour un malfrat qui s’en prenait à son sylvain béni,
N’ayant plus de respect que pour la sauvage vie,
La malédiction finit par se savoir, si bien que dans le village,
Ne subsista plus d’âme pendant bien des âges,
La forêt, envoya ses éclaireurs de ronces et de mûres,
Avant de coloniser le terrain devenu sur,
Les lierres envahirent les façades de terres et de pierres,
La moisissure fit chuter les toits des chaumières,
Si bien qu'il ne resta du village que des vestiges de rires d'enfants figés par le temps,
Accompagnés des cris d’oiseaux et de rongeurs, louant les lieux ce moment.
Seule demeurait non loin le soir, la mélopée de la Dryade esseulée,
Echo d'un coeur d'enfant, attendant que sa mère ou son père revienne la chercher,
Et les rires de son tourmenteur non loin,
Se terrant de satisfaction sur les ruines du chemin,
On oublia le village, mais les cartes se rappellent de ce dont les hommes ne peuvent se souvenir,
Il advint quelques siècles plus tard, qu’un groupe de malandrins pensa la présence d’un trésor pressentir,
Il empruntèrent la route du bois des lamentations,
Où la Dryade solitaire et le lutin pervers avaient leurs habitations,
Pour trouver leur chemin, il fallu qu’ils se perdent irrémédiablement,
Que le faune les emmène près de l’endroit où les tristes notes étaient portées par le vent,
Pour savoir ce que d'eux il advint,
Je crains qu’il ne vous faille revenir demain.