La ramification dont vous êtes le héros, par Bat.Jacl

Objectif Créer des chapitres collaboratifs à la manière des « Livres dont vous êtes le héros », en utilisant la deuxième personne du pluriel pour une immersion maximale. Le but est de construire une …




Chapitre 1: Séjour au manoir Purplesand, par Lyn

Peu après la sortie de votre dernier best-seller vous recevez une invitation pour un séjour de trois jours au manoir Purplesand. L’invitation étant anonyme, votre curiosité s’en est retrouvée exacerbée ; peut-être puiserez-vous dans ce court séjour de l’inspiration pour votre prochain roman ?


 


Deux jours plus tard, vous franchissez le seuil du manoir Purplesand. Un vieux majordome et une jeune femme de chambre vous mènent au salon où vous rencontrez, non pas le maître des lieux, qui ne pourra être parmi vous aujourd’hui, mais néanmoins des têtes connues : Sophia Adduci, une célèbre actrice ; Ben Blackburn, un champion de catch ; Erik Finke, un ancien camarade d’université aujourd’hui chirurgien esthétique prisé par de nombreuses célébrités.


 


Vous passez une agréable soirée à manger, boire et échanger avec les autres invités, spécialement Erik que vous retrouvez avec joie après toutes ces années séparées par la vie.


 


À minuit, les deux domestiques vous conduisent dans vos chambres où vos affaires ont été entreposées.


Avant de vous endormir, vous vérifiez que les portes et les fenêtres soient fermées car vous ne supportez pas les courants d’air qui mettent à mal vos articulations. Ensuite, vous avalez deux pilules de votre somnifère habituel, nécessaires à apaiser vos nuits agitées.


 


Vous vous réveillez à 7 h 45.


Le corps sans vie d’Erik est étendu à vos pieds.




Vous observez le corps, par Bat.Jacl

Votre première réaction, dictée par un mélange d'espoir irréaliste et de rigueur, est de vérifier le pouls d'Erik. En effleurant la peau glaciale de so…

Vous quittez la chambre, par Lyn

Toute trace d’ensommeillement vous quitte et, absolument affolé, vous décidez de chercher de l’aide. Dans le couloir vous êtes désœuvré, faut-il r…